Selon l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), la valeur théorique des pertes et gaspillages alimentaires est évaluée à 16 milliards d’euros, soit 36 % du budget dédié au paiement des intérêts de la dette française. 10 millions de tonnes d’aliments sont concernés.
Cette valeur correspond au prix de vente des produits perdus et gaspillés, et ne prend pas en compte les valorisations parfois réalisées sur ces produits non consommés : alimentation animale, énergie, ou compost… qui permettent de réduire la perte économique absolue.