En 2012, les zones artificialisées (routes, habitats, zones d’activité,…) représentaient, en France métropolitaine, 9.1% du territoire soit 5 millions d’hectares. L’artificialisation des sols engendre une perte de ressources naturelles et agricoles et une imperméabilisation, souvent irréversibles. Elle s’accompagne d’une fragmentation des milieux naturels, défavorable à de nombreuses espèces.
Artificialisation des sols
http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/Rep_-_Chiffres_cle_environnement.pdf