Pois, féverole, lupin, ces cultures fixatrices d’azote et nécessitant peu d’intervention permettent de limiter l’énergie globale consommée par l’exploitation.
L’insertion d’un protéagineux dans une rotation de cultures diminue le bilan énergétique du fait d’un moindre recours à la fertilisation azotée. Une étude européenne, réalisée en France dans le Barrois, évalue toute la consommation d’énergie non renouvelable nécessaire pour produire un hectare de chaque culture.