Cela devrait permettre d’accroître la récolte de céréales d’au moins 10 millions de tonnes l’année prochaine. La fixation d’un taux nul n’oblige pas pour autant les agriculteurs à cultiver leurs terres. Ils peuvent, s’ils le souhaitent, les maintenir en jachère et continuer de mettre en œuvre des programmes en faveur de l’environnement.
Pour Mariann Fischer Boel, membre de la Commission chargé de l’agriculture et du développement rural, estime que «nous nous dirigeons à présent vers le “bilan de santé de la Pac” (qui sera lancé le 20 novembre) à l’occasion duquel nous examinerons si la mise en jachère obligatoire est toujours un outil approprié. Bien entendu il faudra veiller à ce que l’on puisse préserver les effets positifs de ce système sur l’environnement.»