Cette décision a été prise pour tenir compte des débats actuels. « Nous avons stocké la récolte dans un lieu sécurisé jusqu’à une décision qui sera prise au vu de l’évolution de la loi et des débats initiés par la coopérative et ses adhérents », ajoutent les responsables de Terrena. Ils veulent, en effet, « prendre le temps de la réflexion et apporter notre contribution au débat ». Ce dernier devra s’inscrire dans le cadre plus large de la possibilité de coexistence des différentes agricultures sur un même territoire.
Prochaine étape : la consultation par la coopérative de ses adhérents au cours de 35 réunions qui se dérouleront du 14 au 25 janvier prochain.