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Le réseau Biodiversité pour les abeilles a fait le bilan de trois années d’expérimentations lors de ses deuxièmes assises tenues à Reims le 8 avril.
Il confirme les pistes ouvertes par de nombreux scientifiques : la nécessaire création de « couverts apicoles », c’est à dire de surfaces où sont cultivés des végétaux pour nourrir les abeilles. Ces plantes mellifères apportent jusqu’à plus de 90 % des besoins en pollen si elles sont implantées sur 0,5 % de la surface où évoluent les abeilles d’un rucher.
Toute personne qui cultive une portion de terre peut contribuer à améliorer l’alimentation des abeilles. Pour aider les professionnels du paysage ou les jardiniers amateurs, le Réseau biodiversité pour les abeilles met en ligne la liste des plantes les mieux adaptées à la production de pollen et des conseils pour faire fleurir la biodiversité dans son jardin : www.jachères-apicoles.fr (espace jardin).
Il confirme les pistes ouvertes par de nombreux scientifiques : la nécessaire création de « couverts apicoles », c’est à dire de surfaces où sont cultivés des végétaux pour nourrir les abeilles. Ces plantes mellifères apportent jusqu’à plus de 90 % des besoins en pollen si elles sont implantées sur 0,5 % de la surface où évoluent les abeilles d’un rucher.Toute personne qui cultive une portion de terre peut contribuer à améliorer l’alimentation des abeilles. Pour aider les professionnels du paysage ou les jardiniers amateurs, le Réseau biodiversité pour les abeilles met en ligne la liste des plantes les mieux adaptées à la production de pollen et des conseils pour faire fleurir la biodiversité dans son jardin : www.jachères-apicoles.fr (espace jardin).
