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La chaleur de septembre a mis en difficulté les agriculteurs polonaisDziennik
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Université Bishop’s : un programme novateur en agriculture durableLa Voix de l'Est
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Les insectes auxiliaires (chrysopes et coccinelles) se chargent d’éliminer les pucerons. La lutte contre les limaces associe les prédateurs naturels (crapauds et couleuvres), les paillages (fèves de cacao, lin) et en cas de nécessité des granules autorisées en agriculture biologique. Les déchets verts du jardin sont broyés et étalés autour des plantations afin d’enrichir le sol. Différents apports organiques fertilisent la terre du potager et les engrais de synthèse ne sont apportés qu’aux plantes en pots et aux murs végétaux.
L’association Cordes développement, gestionnaire du site, développe également des partenariats au profit de la protection de l’environnement. 
Ainsi, le jardin est un refuge de la Ligue de protection des oiseaux, permettant à de nombreuses espèces de nicher et de trouver leur nourriture. Par ailleurs, le Jardin des Paradis soutient Noé conservation, qui recense les papillons et aide les visiteurs à identifier les espèces présentes dans le jardin. Enfin, la démarche entreprise en faveur du patrimoine naturel, a conduit le Jardin des Paradis à travailler avec le Verger conservatoire de Puycelsi, afin de remplacer les fruitiers malades par des variétés locales utilisant des porte-greffes adaptés au terrain.
Le Jardin des paradis : www.jardindesparadis.eu
Mis en place en 2004, ce label récompense des jardins et des parcs ouverts à la visite, qui se distinguent par leur qualité qu’ils soient anciens ou contemporains,
publics ou privés, intimes ou vastes, et qui présentent des collections botaniques ou créations d’artistes.
Le label est attribué pour cinq ans renouvelables par le préfet de région, après examen d’un dossier par un groupe de travail régional. Il répond à des critères d’exigence et de qualité sur l’organisation de l’espace, l’intégration dans le site, les éléments notables, l’intérêt botanique et/ou historique, l’entretien (existence éventuelle d’un “plan de gestion”) et l’accueil.
A ce jour, près de 300 jardins bénéficient de cette appellation attribuée par le ministère de la Culture :
http://www.culture.gouv.fr/culture/politique-culturelle/labelJR_avril08.pdf
Ma solution ? Je dessine …. ! Petit commentaire en partage sous forme de dessins engagés « La robe de Médée » : https://1011-art.blogspot.com/p/la-robe-de-medee.html ainsi que “Vous êtes ici” : https://1011-art.blogspot.com/p/vous-etes-ici.html
(Séries pour le Muséum de Genève pour l’exposition « tout contre la Terre ».)
Et les dessins du moment “Vanité” en lien avec le rapport du GIEC : https://1011-art.blogspot.com/p/vanite.html