Avec quelque 173 185 élèves et 30 000 apprentis à la rentrée 2008, l’enseignement agricole connaît “un très léger tassement depuis dix ans”. Toutefois, Jean-Louis Buër, directeur général de la DGER (direction générale de l’enseignement et de la recherche), tenait à souligner “l’attractivité” de cette filière, qui compte tenu de la baisse du nombre des agriculteurs, a réussi à stabiliser ses effectifs.
L’enseignement agricole, recrute maintenant majoritairement des jeunes hors du monde agricole. 16% seulement des élèves sont aujourd’hui enfants d’agriculteurs et 84% sont issus d’autres milieux professionnels. Aujourd’hui, selon les chiffres officiels, les enfants d’ouvriers et d’employés représentent 44% des élèves, contre 20% pour les enfants de cadres et professions intermédiaires et 8% pour les artisans et commerçants.
Le tourisme vert compte parmi les filières les plus convoitées, les débouchés étant très variés : responsable de syndicat d’initiative, de projet touristique communal ou encore d’un parc naturel. L’aménagement et le paysager rencontrent aussi un grand succès : “en 15 ans, le nombre d’élèves a augmenté d’un bon tiers” au rythme d’une offre croissante d’emplois sur le secteur. L’enseignement strictement agricole reste toutefois “la priorité”. La grande innovation de la rentrée 2008 est l’ouverture de la licence professionnelle « agriculture biologique » dans six établissements d’enseignement agricole technique (Brioude, Le Rheu, Tulle, Saint Affrique, Anneyroin et Brens), à l’ENITA Clermont-Ferrand et l’UBP Clermont.
Par ailleurs, plusieurs dynamiques en faveur de l’agriculture biologique se mettent en œuvre dans plusieurs régions avec la mise en place d’une politique incitative, tant en formation initiale qu’en formation professionnelle continue. Cette dynamique s’appuie naturellement sur la rénovation des diplômes et sur le développement de stages de formation continue sur l’agriculture biologique à destination des enseignants.
À ce jour, sur les 190 exploitations de l’enseignement agricole, douze sont totalement converties et cinquante disposent d’une partie en agriculture biologique.
L’enseignement agricole, recrute maintenant majoritairement des jeunes hors du monde agricole. 16% seulement des élèves sont aujourd’hui enfants d’agriculteurs et 84% sont issus d’autres milieux professionnels. Aujourd’hui, selon les chiffres officiels, les enfants d’ouvriers et d’employés représentent 44% des élèves, contre 20% pour les enfants de cadres et professions intermédiaires et 8% pour les artisans et commerçants.
Le tourisme vert compte parmi les filières les plus convoitées, les débouchés étant très variés : responsable de syndicat d’initiative, de projet touristique communal ou encore d’un parc naturel. L’aménagement et le paysager rencontrent aussi un grand succès : “en 15 ans, le nombre d’élèves a augmenté d’un bon tiers” au rythme d’une offre croissante d’emplois sur le secteur. L’enseignement strictement agricole reste toutefois “la priorité”. La grande innovation de la rentrée 2008 est l’ouverture de la licence professionnelle « agriculture biologique » dans six établissements d’enseignement agricole technique (Brioude, Le Rheu, Tulle, Saint Affrique, Anneyroin et Brens), à l’ENITA Clermont-Ferrand et l’UBP Clermont.
Par ailleurs, plusieurs dynamiques en faveur de l’agriculture biologique se mettent en œuvre dans plusieurs régions avec la mise en place d’une politique incitative, tant en formation initiale qu’en formation professionnelle continue. Cette dynamique s’appuie naturellement sur la rénovation des diplômes et sur le développement de stages de formation continue sur l’agriculture biologique à destination des enseignants.
À ce jour, sur les 190 exploitations de l’enseignement agricole, douze sont totalement converties et cinquante disposent d’une partie en agriculture biologique.