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Le Grenelle Environnement a fixé des objectifs clairs en termes de réduction des déchets : diminuer la production d’ordures ménagères et assimilées de 7 % par habitant en 5 ans, soit une diminution de 28 kg par an par personne d’ici 2013. Le 13 novembre, l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) et le ministère du Développement durable ont lancé une nouvelle vague de leur campagne triennale de sensibilisation des consommateurs, des collectivités et des entreprises sur le thème du gaspillage alimentaire.
Le gaspillage alimentaire, c’est 20 kg de déchets par personne et par an, soit quelque 1,2 million de tonnes de nourriture qui se retrouvent dans la poubelle des ménages. L’alimentation génère aujourd’hui 20 % du total des émissions quotidiennes de gaz à effet de serre en France. Ainsi un repas équivaut en moyenne à 3 kg de gaz à effet de serre. Une alimentation également fortement consommatrice en eau : 1 000 litres d’eau sont nécessaires pour produire 1 kg de farine et 16 000 litres d’eau pour produire 1 kg de viande rouge. Le gaspillage alimentaire recouvre des enjeux sociaux, économiques et environnementaux.
La nouvelle vague de la campagne grand public invite aux bonnes pratiques. Un spot TV, un spot radio, une annonce presse et des bannières web qui sensibilisent le grand public et l’incitent à se rendre sur le site reduisonsnosdechets.fr pour en savoir plus et connaître les moyens concrets afin d’éviter ce gaspillage.
Le gaspillage alimentaire, c’est 20 kg de déchets par personne et par an, soit quelque 1,2 million de tonnes de nourriture qui se retrouvent dans la poubelle des ménages. L’alimentation génère aujourd’hui 20 % du total des émissions quotidiennes de gaz à effet de serre en France. Ainsi un repas équivaut en moyenne à 3 kg de gaz à effet de serre. Une alimentation également fortement consommatrice en eau : 1 000 litres d’eau sont nécessaires pour produire 1 kg de farine et 16 000 litres d’eau pour produire 1 kg de viande rouge. Le gaspillage alimentaire recouvre des enjeux sociaux, économiques et environnementaux.
La nouvelle vague de la campagne grand public invite aux bonnes pratiques. Un spot TV, un spot radio, une annonce presse et des bannières web qui sensibilisent le grand public et l’incitent à se rendre sur le site reduisonsnosdechets.fr pour en savoir plus et connaître les moyens concrets afin d’éviter ce gaspillage.
Exemple à suivre : les Bouches-du-Rhône
Dans le cadre du programme « Manger autrement dans les collèges » mis en place par le Conseil Général des Bouches du Rhône, l’association «De mon assiette à notre planète» organise depuis 2006 des ateliers pour sensibiliser les élèves aux quantités d’aliments jetés dans les cantines ou self-services des établissements, après les repas. 81 % des collégiens ayant participé à ces ateliers déclarent faire aujourd’hui plus attention au fait de moins gaspiller.
