Le changement climatique joue un rôle important dans l’augmentation du rendement en sucre issu des betteraves. Passé d’une moyenne de 10 t/ha en 1990, à 13,2 en 2009, cette hausse du rendement sucrier s’explique par l’augmentation des températures accélérant la mise en place du couvert. Car c’est avant le 1er août qu’est réalisé l’essentiel du progrès des rendements. L’autre moitié du progrès serait attribuée à la génétique et aux techniques culturales, notamment l’avancement des dates de semis.