Marquée par le retrait des États-Unis de l’accord de Paris, la Cop23 a également laissé entrevoir une prise en compte plus importante de l’agriculture. Attendu depuis plusieurs années, un programme de travail sur l’agriculture et la sécurité alimentaire a ainsi fait son apparition dans les négociations climatiques. Un changement souligné par Stéphane Travert devant la presse, le 16 novembre : « La vulnérabilité de l’agriculture face aux changements climatiques, et l’importance cruciale de l’enjeu alimentaire ont été actées, c’est une bonne nouvelle ! »
Le ministre n’a pas manqué non plus de rappeler que les États généraux de l’alimentation en France étaient une voie de dialogue exemplaire qui englobait, dans son volet « durabilité de l’agriculture », les enjeux climatiques.