La vidéosurveillance dans les abattoirs peut constituer un outil « utile », complémentaire du dispositif de contrôle interne, même s’il ne peut permettre d’assurer un respect constant des obligations. C’est l’avis du Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux (CGAAER), chargé d’élaborer un cadre de déploiement de la vidéosurveillance de protection animale en abattoir. Son rapport sur la question, basé sur des expérimentations instaurées par la loi Égalim, a été publié le 4 juillet 2019. Le CGAAER recommande donc de promouvoir ce type de dispositif à grande échelle. Un décret d’application dédié devrait voir le jour, toujours dans le cadre de la loi Égalim.