En avril 2019, la loi Egalim avait rendu obligatoire l’intégration de 50 % d’aliments de qualité et durables dans la restauration collective publique, pour 2022. Dans le cadre de la réponse à cet enjeu, le ministre de l’Agriculture, Julien Denormandie, a annoncé, à l’occasion du salon Restau’Co à Paris le 8 septembre, de nouvelles mesures.
« Informer et donner l’exemple »
« Mon combat, c’est la qualité de l’alimentation dans nos cantines », a affirmé Julien Denormandie. Concrètement, dans un premier objectif d’ « informer », un décret sera pris avant la fin de l’année 2021. Il rendra obligatoire l’étiquetage des viandes quant à leur origine, dans les restaurations collectives, en 2022. De plus, le ministre, qui considère que l’ « Etat doit donner l’exemple », a annoncé que 100 % des viandes et poissons des cantines de l’Etat devront être « de qualité » (labels, Siqo, Bio, HVE…).
« Investir »
Julien Denormandie a également rappelé que des fonds étaient mobilisés dans le cadre du plan France Relance, pour accompagner les investissements matériels et immatériels pour le développement de l’offre en produits frais et locaux dans les cantines. 50 millions d’euros sont, par exemple, destinés au soutien des petites communes. A ce jour, 420 communes ont pu en bénéficier, et le ministre rappelle que l’accompagnement est toujours ouvert pour les gestionnaires de cantine. Il ajoute que les 80 millions d’euros ayant déjà permis de soutenir 202 projets alimentaires territoriaux (PAT), ont souvent accompagner la croissance de l’approvisionnement des cantines en produits locaux.
pourquoi il y aurait alors 50 % DE VIANDE seulement de qualité, cela tourne au ridicule ou alors uniquement la même viande que l’on trouve sur les grandes tables!!!!!!! arrêter de prendre le consommateurs pour un gogol, à chaque porte monnaie il est possible de trouver la qualité …………….