Et si l’écologie devenait un moteur de dynamisme pour l’économie française. Telle est en tout cas la volonté affichée par le ministre de l’Ecologie, Jean-Louis Borloo avec sa proposition d’extension du « bonus-malus écologique » à d’autres produits que les voitures. Claude Guéant, secrétaire général de l’Elysée, à la sortie du Conseil des ministres de rentrée du 21 août, confirmait au quotidien Le Monde, que « les textes du Grenelle étaient désormais considérés comme prioritaires » et que l’Elysée voyait dans leur mise en oeuvre « un nouveau moteur économique », une croissance verte et « la promotion d’un mode de développement prenant en compte le développement durable »…