La Commission européenne n’a pas l’intention d’aller plus loin en matière d’harmonisation des réglementations entre les États membres concernant la coexistence des cultures génétiquement modifiées et conventionnelles, comme elle l’a indiqué dans un rapport publié le 2 avril. Elle entend laisser le libre arbitre aux pays, même si elle continuera à émettre des recommandations. La Commission européenne considère, en effet, que les États ont fait des progrès considérables en la matière : 15 pays disposent d’une législation relative à la coexistence contre 4 en 2006.