Dans un jugement au fond en date du 10 mars 2015, le tribunal administratif de Nancy a annulé l'arrêté du préfet de la Meuse du 28 août 2014 qui autorisait le « tir de prélèvement » d'un loup. Le juge a estimé que la mise en œuvre des tirs de défense avait déjà permis de réduire significativement la fréquence de prédation du loup sur les troupeaux de trois éleveurs.