La commission de l'environnement du Parlement européen s'est prononcée le 24 février pour un plafonnement à 6 % d'ici à 2020 du taux d'incorporation des biocarburants de première génération (blé, maïs, betteraves, colza…) dans les transports. Le texte voté a fixé parallèlement un objectif de 1,25 % pour les « carburants avancés », c'est-à-dire les carburants de deuxième et troisième générations obtenus à base de déchets organiques, de micro-algues, mais aussi de carburants renouvelables d'origine non-biologique.