Ce n’est pas vraiment de l’agriculture… Mais c’est le signe d’un certain savoir-faire dans le domaine du végétal : les pelouses foulées depuis deux semaines par les équipes engagées dans la Coupe du Monde, en Russie, sont majoritairement françaises. Un cocorico que peut revendiquer l’entreprise DLF-France, filiale d’un groupe danois. D’autant que le cahier des charges est plus complexe qu’on pourrait l’imaginer : résistance au piétinement, apparence, résistances aux conditions climatiques d’un été en Russie…
Le gazon provient précisément du Maine-et-Loire. Quinze tonnes de semences ont été nécessaires pour préparer huit des douze stades dans lesquels se joue la compétition.
#CoupeDuMonde2018 : l’équipe de France accusée de “favoritisme technique” car la #pelouse du stade est produite en France, par le semencier DLF (Elle aurait due être allemande, ca aurait aidé la #Mannschaft! )#madeinFrance #Semences #Mondial2018 #Cocorico @gnis @DLF_France pic.twitter.com/n0fqz3Nkrf
— La Fake Agricole (@LaFakeAgricole) 18 juin 2018