De son côté, le 18 août, à l’occasion des 20 ans de la Confédération paysanne, José Bové a très clairement appelé les militants anti-OGM “à détruire les parcelles d’essais et à détruire toutes les parcelles de semences qui ont été mises en place par des multinationales” afin d’aboutir à un débat de société et à un moratoire.
Face à ces destructions de parcelles OGM qui se multiplient, les professionnels des semences et de la protection des plantes « exhortent le gouvernement à la plus grande fermeté à l’encontre des auteurs de ces actes de vandalisme révoltants, scandaleux, intolérables et antidémocratiques ». Ils s’inquiètent sur les conséquences de tels actes sur l’avenir de l’expertise française.