Jean-Louis Borloo, ministre d’État, de l’Écologie, du Développement et de l’Aménagement durables rappelle l’engagement très ferme du gouvernement à tout mettre en œuvre pour que le plan de reconquête du marais Poitevin, engagé en 2002, soit mené à son terme.
Le projet de charte du Parc naturel régional du marais Poitevin qui a été transmis, avec l’avis motivé du Préfet de Région, présente une extrême fragilité juridique, à même de compromettre la viabilité du futur Parc, alors que la solidité juridique est la seule condition de sa réussite.
Jean-Louis Borloo propose donc une méthode de travail partenariale et a demandé au Préfet de Région de se rapprocher de l’ensemble des parties prenantes, afin d’examiner les conditions dans lesquelles un projet rénové pourrait être proposé dans les meilleurs délais afin de faire du marais Poitevin, un Parc naturel régional exemplaire. Une mission d’appui va être placée auprès du préfet de la Région Poitou-Charentes à cet effet.
La fédération France Nature Environnement et ses associations engagées attendent d’être reçues par le Ministre et le Préfet de région, pour discuter de l’avenir de ce parc naturel et précisent qu’elles « demeurent très vigilantes et déterminées mais ne joueront pas la politique de la chaise vide » et souhaitent « être reçues rapidement et surtout, être écoutées ».
Le projet de charte du Parc naturel régional du marais Poitevin qui a été transmis, avec l’avis motivé du Préfet de Région, présente une extrême fragilité juridique, à même de compromettre la viabilité du futur Parc, alors que la solidité juridique est la seule condition de sa réussite.
Jean-Louis Borloo propose donc une méthode de travail partenariale et a demandé au Préfet de Région de se rapprocher de l’ensemble des parties prenantes, afin d’examiner les conditions dans lesquelles un projet rénové pourrait être proposé dans les meilleurs délais afin de faire du marais Poitevin, un Parc naturel régional exemplaire. Une mission d’appui va être placée auprès du préfet de la Région Poitou-Charentes à cet effet.
La fédération France Nature Environnement et ses associations engagées attendent d’être reçues par le Ministre et le Préfet de région, pour discuter de l’avenir de ce parc naturel et précisent qu’elles « demeurent très vigilantes et déterminées mais ne joueront pas la politique de la chaise vide » et souhaitent « être reçues rapidement et surtout, être écoutées ».