La France est isolée sur l'étiquetage des produits transformés : si le commissaire européen Tonio Borg a évoqué la possibilité de lancer des études complémentaires, une majorité d'États membres de l'UE a estimé, le 24 mars, qu'un étiquetage obligatoire de l'origine des viandes utilisées dans les produits transformés coûterait trop cher à la filière. Un rapport de la Commission européenne évalue à 50 % la hausse des coûts de production.