Les avantages de cette technique sont encore aujourd’hui en débat. Ses partisans mettent en avant son intérêt pour limiter les besoins en irrigation, en fertilisation et le fait que le sol ait une couverture aide à lutter contre le ruissellement, l’érosion et le lessivage. Mais, l’accroissement rapide du taux d’humus constitue l’atout essentiel du BRF, permettant notamment des augmentations de rendement.
En France, l’association Base (Bretagne, agriculture sol, environnement) et l’Apad (Association pour la promotion d’une agriculture durable) expérimentent cette technique depuis deux ans et semblent convaincus de son intérêt comme outil pour «construire une agriculture bio-logique».