Dans le cadre de la présidence française de l’Union européenne, les ministères de l’Agriculture et de la Pêche et de l’Enseignement supérieur et de la Recherche ont organisé en collaboration avec l’Inra et le CNRS une conférence internationale, « Biodiversité et agriculture », à Montpellier les 04 et 05 novembre. Objectif : définir des priorités de recherche européenne en matière de préservation et de valorisation de la biodiversité.
L’idée de développer un ensemble de sites d’études à l’échelle européenne a été retenue. Ils permettront de mieux connaître les évolutions de la biodiversité, leurs causes et les conséquences des services rendus par les écosystèmes à l’agriculture. C’est en effet la constitution d’un réseau écologique, représentatif d’une diversité de situations suivies sur le long terme, qui permettra d‘analyser la complexité et la multiplicité des relations agriculture-biodiversité.
Dans son allocution de clôture, Valérie Pécresse, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, a formé le vœu de faire de la recherche sur l’agriculture et la protection de la biodiversité une priorité absolue de la science européenne à terme. L’occasion de rappeler qu’un premier pas allait devrait être franchi avec la mise en place de l’IPBES, une plate-forme scientifique-politique intergouvernementale sur la biodiversité.
L’idée de développer un ensemble de sites d’études à l’échelle européenne a été retenue. Ils permettront de mieux connaître les évolutions de la biodiversité, leurs causes et les conséquences des services rendus par les écosystèmes à l’agriculture. C’est en effet la constitution d’un réseau écologique, représentatif d’une diversité de situations suivies sur le long terme, qui permettra d‘analyser la complexité et la multiplicité des relations agriculture-biodiversité.
Dans son allocution de clôture, Valérie Pécresse, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, a formé le vœu de faire de la recherche sur l’agriculture et la protection de la biodiversité une priorité absolue de la science européenne à terme. L’occasion de rappeler qu’un premier pas allait devrait être franchi avec la mise en place de l’IPBES, une plate-forme scientifique-politique intergouvernementale sur la biodiversité.