Le CIV informe sur la nutrition en restauration scolaire

28 octobre 2015 - La rédaction 
Le CIV, viandes, sciences et société, rassemble sur son site Internet différents documents sur la qualité nutritionnelle des repas en restauration scolaire ainsi que sur le service de la viande et des autres plats protidiques au sein de ces repas. Offrant une vision globale des recommandations, normes et questions posées sur ce sujet, en France.

A l'occasion de la sortie de nouvelles recommandations nutrition en restauration collective du GEM-RCN (Groupe d'étude des marchés de restauration collective et nutrition), le CIV, a rassemblé sur son site Internet différents documents sur la qualité nutritionnelle des repas en restauration scolaire ainsi que sur le service de la viande et des autres plats protidiques au sein de ces repas. Ces textes permettent d'avoir une vision globale des recommandations, normes et questions posées sur ce sujet, en France.

Deux enfants sur trois mangent à la cantine chaque semaine 
Depuis toujours, l'alimentation des enfants en milieu scolaire, alias « la cantine », suscite de nombreuses discussions, questions et débats. Il est vrai qu'en France elle concerne un grand nombre d'enfants : selon l'étude Inca2 de l'Anses (l'Agence nationale de la sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail) en 2007, deux enfants sur trois en moyenne mangent à la cantine au moins une fois par semaine (63 %  des enfants de maternelle et primaire et 69 % des collégiens et lycéens) et ils sont respectivement 50% et 64% à y déjeuner au moins trois fois par semaine.

Des préoccupations au-delà de la qualité nutritionnelle et sanitaire
La santé des enfants fait très légitimement partie des préoccupations premières à travers la qualité nutritionnelle et la qualité sanitaire des repas. Celles-ci s'inscrivent d'ailleurs aujourd'hui dans les priorités de santé publique. Mais ces quatre repas par semaine revêtent bien d'autres fonctions et sont au cœur de préoccupations très diverses : éducatives, économiques, environnementales, culturelles, sociales, voire politiques.

En pratique, c'est aux collectivités territoriales (pour tout le secteur public à minima) et non pas a l'Education Nationale que reviennent la responsabilité et la mise en œuvre de la restauration scolaire. Ce sont elles qui se retrouvent confrontées aux multiples demandes, contraintes et enjeux précédemment évoqués.

Face à un sujet aussi vaste, le CIV a, dans un premier temps, choisi de cibler les questions de qualité nutritionnelle globale des repas servis ainsi que, plus modestement, à celles du service de la viande.

 

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