Les barrières en bois font leur retour dans le Boulonnais et l’Audomarois

26 octobre 2006 - La rédaction 
Dans le cadre de sa mission de préservation des paysages et des savoir-faire locaux, le Parc naturel régional des caps et marais d’Opale relance la mise en place de barrières traditionnelles dans la région.

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<p class=Maintenir les barrières traditionnelles participe à la préservation des éléments remarquables du paysage

bocage de la région du Boulonnais et de l’Audomarois (dans le Pas-de-Calais) sont uniques en France de par leur forme et leur constitution (tout en chêne de pays). C’est la raison pour laquelle le Parc naturel régional des caps et marais d’Opale a décidé d’intégrer la sauvegarde de ces barrières dans le cadre de son programme de reconquête des paysages ruraux.
“Depuis 1996, le Parc prend en charge 80 % du montant de ces barrières, explique Philippe Majot, assistant d’études arbres et paysages du Parc, à condition toutefois qu’elles soient placées à l’entrée des prairies, entourées de haies champêtres et en bordure d’un axe routier passager. Cette aide n’est attribuée qu’une seule fois par personne. Les barrières, de 3,5 ou 4 mètres, coûtent environ 750 €. Grâce à l’aide du Parc, l’agriculteur ou le propriétaire de prairies ne débourse que 150 € pour mettre en place une barrière traditionnelle de qualité.”

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