Les céréaliers demandent que le blé dur soit considéré comme une culture à part

16 septembre 2014 - La rédaction 

Réunis en Comité de pilotage de la filière blé dur le 9 septembre à Montpellier, l'Association générale des producteurs de blés (AGPB), l'Union française des semenciers (UFS), le syndicat des industriels fabricants de pâtes alimentaires de France (Sifpaf) et le Comité français de la semoulerie industriel (CFSI) ont demandé que la culture du blé dur et celle du blé tendre soient considérées comme deux cultures différentes dans le cadre du verdissement de la Politique agricole commune et de l'obligation de la diversité des assolements. En effet, les agriculteurs disposant d'une superficie de plus de 30 hectares devront réaliser trois cultures différentes, et ceux ayant une surface comprise entre 10 et 30 ha devront en cultiver deux.

Avant eux, les maïsiculteurs ont formulé la même demande avec le maïs semence, le maïs doux et le maïs consommation.
 

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