Emblématique des fêtes de fin d’année, le fois gras demeure un aliment controversé, notamment à cause du gavage des animaux nécessaire à sa fabrication. Les travaux de chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médical (Inserm), relayés par Les Échos, apporteront peut-être une solution à cette situation. Une équipe, menée par Rémy Burcelin, a en effet mis au point un fois gras sans avoir recours à la technique du gavage sur les oies. Le résultat de trois ans de recherche dans une ferme expérimentale, créée pour l’occasion, dans l’Ariège. Pour aboutir à ce fois gras, les chercheurs se sont « inspirés » de la stéatose, la maladie du foie gras de l’Homme, en faisant le lien entre stockage du gras dans le foie et les micro-organismes présents dans les intestins. Les travaux menés ont permis d’identifier des bactéries modifiant la flore intestinale et déclenchant en conséquence le stockage de gras chez les oies. Objectif pour 2020 : 2000 à 3000 fois gras produits. De premiers foies gras sans gavage ont été commercialisés avant les fêtes 2019. Une différence qui a prix : il faut compter 124 euros pour une terrine de 125 grammes.
A t’on besoin de manger du foie gras pour vivre ,…pour être mieux portant ou plus heureux ???
Ces questionnements sont bien l’émanation d’une société de nantis !
Quand aurons nous le courage de faire quelques vrais efforts pour laisser une planète encore viable à nos successeurs ?
A t’on besoin de manger du foie gras pour vivre ,…pour être mieux portant ou plus heureux ???
Ces questionnements sont bien l’émanation d’une société de nantis !
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