Selon l’ONG canadienne Global Overshoot Day, la date du 23 septembre a marqué
« le jour du dépassement global » de l’année 2008, l’humanité ayant consommé depuis le 1er janvier toutes les ressources que la planète peut produire en un an. Autrement dit, depuis le 23 septembre, pour continuer à boire, manger et se chauffer, l’humanité surexploite le milieu naturel et compromet sa capacité de régénération.
Cette image du dépassement a été imaginé par deux universitaires, William Rees et Mathis Wackernagel qui ont inventé le concept d’empreinte écologique et mis au point une méthode permettant de mesurer l’impact des activités humaines sur les écosystèmes. L’unité de mesure utilisée pour calculer l’empreinte écologique d’un individu, d’une ville ou d’un pays est l’hectare global. Le résultat donne les surfaces biologiquement productives nécessaires pour permettre la construction d’infrastructures, la consommation de ressources agricoles, aquatiques et forestières et l’absorption des déchets produits
Global Footprint Network utilise cet outil pour quantifier l’évolution de la consommation de ressources dans le temps et sensibiliser aux conséquences de leur utilisation.
En France, chaque habitant consomme en moyenne l’équivalent de six hectares globaux ce qui nous place au 12e rang mondial.
Les habitant des Emirats arabes unis ont l’empreinte écologique la plus élevée en consommant chaque année l’équivalent de 12 hectares globaux. Ceux du Bangladesh, de la Somalie et de l’Afghanistan sont les plus petits consommateurs avec moins d’un demi-hectare.
« le jour du dépassement global » de l’année 2008, l’humanité ayant consommé depuis le 1er janvier toutes les ressources que la planète peut produire en un an. Autrement dit, depuis le 23 septembre, pour continuer à boire, manger et se chauffer, l’humanité surexploite le milieu naturel et compromet sa capacité de régénération.
Cette image du dépassement a été imaginé par deux universitaires, William Rees et Mathis Wackernagel qui ont inventé le concept d’empreinte écologique et mis au point une méthode permettant de mesurer l’impact des activités humaines sur les écosystèmes. L’unité de mesure utilisée pour calculer l’empreinte écologique d’un individu, d’une ville ou d’un pays est l’hectare global. Le résultat donne les surfaces biologiquement productives nécessaires pour permettre la construction d’infrastructures, la consommation de ressources agricoles, aquatiques et forestières et l’absorption des déchets produits
Global Footprint Network utilise cet outil pour quantifier l’évolution de la consommation de ressources dans le temps et sensibiliser aux conséquences de leur utilisation.
En France, chaque habitant consomme en moyenne l’équivalent de six hectares globaux ce qui nous place au 12e rang mondial.
Les habitant des Emirats arabes unis ont l’empreinte écologique la plus élevée en consommant chaque année l’équivalent de 12 hectares globaux. Ceux du Bangladesh, de la Somalie et de l’Afghanistan sont les plus petits consommateurs avec moins d’un demi-hectare.