« S’agissant des OGM, nous sommes favorables aux évolutions technologiques seulement si celles-ci impliquent un réel progrès pour les consommateurs. Et si bien sûr, elles ne constituent de risque ni pour notre santé ni pour l’environnement. Or, pour l’heure, aucune preuve formelle n’existe pour valider cette hypothèse à long terme. Les données sanitaires transmises par les fabricants ne rassurent que sur des effets à très court terme. Nous ne pouvons pas nous contenter de cela ».
Olivier Andrault
|