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Ce projet a été initié en 2004. Son objectif est d’obtenir une plus grande biodiversité pour favoriser la faune auxiliaire, limiter les ravageurs et réduire in fine les traitements. 75 % des vignobles de l’appellation sont enherbés. A ce jour 4 km de haies ont été installées. 
La phase recherche du projet est conduite en partenariat avec l’Enita de Bordeaux (Ecole nationale des ingénieurs des travaux agricoles) et l’Esa d’Angers (Ecole supérieure agricole).
Elle a permis d’estimer, dans un premier temps, les interactions entre les différents éléments du paysage, haies, bois, cultures, murets et la dynamique des populations de ravageurs présents dans les vignes. Un programme de plantation des haies pour héberger la faune auxiliaire a aussi été élaboré.
20 % par le syndicat
20 % par le fonds européen leader plus jusqu’en 2006, puis par la région dès 2007 (plantation à l’automne)
60 % par le conseil général plafonné à 3 euros le mètre linéaire.
Le travail du sol est à la charge du viticulteur.
Le parc naturel offre les plants d’amandiers
Les cépages autorisés sont le cabernet-franc, le cabernet -sauvignon, le pineau-d’Aunis L’appellation couvre une surface de 1 600 ha plantée presque exclusivement en cabernet-franc. Un triangle au sud-est de Saumur, délimité au nord par la rive gauche de la Loire, à l’ouest par la vallée du Thouet et à l’est par la forêt de Fontevraud.
Le terroir est argilo-calcaire.
30 % de la production des cent vignerons membres du syndicat est destinée à la cave coopérative, localisée à Saint-Cyr-en-Bourg.
