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À partir de cet automne, les exploitations spécialisées en productions végétales
(grandes cultures, arboriculture, viticulture et maraîchage) pourront souscrire au plan végétal pour l’environnement (PVE). Ce plan soutient l’investissement dans du matériel permettant de diminuer l’impact sur l’environnement. Il est, pour les filières grandes cultures, le pendant au plan de modernisation des bâtiments d’élevage, dans le secteur animal. Les agriculteurs concernés bénéficient d’une subvention globale maximale de 40 %, majorée de 10 % pour les jeunes agriculteurs. La liste des investissements éligibles sera disponible dès l’entrée en vigueur du plan. à titre indicatif, pourront être subventionnés : l’aménagement du site d’exploitation, l’achat d’outils d’aide à la décision pour la gestion des intrants, l’achat d’équipement sur le pulvérisateur et de matériel économe en eau. C’est au niveau régional, par arrêté préfectoral, que seront précisés les investissements prioritaires. Le budget prévu pour 2006 est de 14 millions d’euros, puis 20 millions d’euros par an sur la période 2007-2013.
(grandes cultures, arboriculture, viticulture et maraîchage) pourront souscrire au plan végétal pour l’environnement (PVE). Ce plan soutient l’investissement dans du matériel permettant de diminuer l’impact sur l’environnement. Il est, pour les filières grandes cultures, le pendant au plan de modernisation des bâtiments d’élevage, dans le secteur animal. Les agriculteurs concernés bénéficient d’une subvention globale maximale de 40 %, majorée de 10 % pour les jeunes agriculteurs. La liste des investissements éligibles sera disponible dès l’entrée en vigueur du plan. à titre indicatif, pourront être subventionnés : l’aménagement du site d’exploitation, l’achat d’outils d’aide à la décision pour la gestion des intrants, l’achat d’équipement sur le pulvérisateur et de matériel économe en eau. C’est au niveau régional, par arrêté préfectoral, que seront précisés les investissements prioritaires. Le budget prévu pour 2006 est de 14 millions d’euros, puis 20 millions d’euros par an sur la période 2007-2013. 
