SIA – Blé dur, les axes de recherche de la filière

28 février 2013 - La rédaction 

Les différents acteurs de la « Plateforme blé dur » se sont rassemblés à l'occasion du Salon de l'agriculture. L'objectif : améliorer la compétitivité de la filière dans un contexte de changement climatique, de limitation des ressources et de plafonnement des rendements. Les chercheurs et agronomes doivent faire face à plusieurs contraintes.

Plusieurs projets d'amélioration variétale sont en cours, visant à obtenir un blé plus performant dans une logique d'agro-écologie afin que la production agricole soit performante et réponde aux attentes des consommateurs. Les recherches portent sur des blés capables de mobiliser plus efficacement l'azote du sol, développer des résistances à la fusariose, produire des protéines de meilleure qualité ou encore être plus résistants aux changements climatiques, principalement dans le bassin méditerranéen.

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Laurent Bruckler (Inra Montpellier), Pierre Triboulet (Inra Toulouse), Marie-Hélène Morel (Inra Montpellier), Christian Huyghe (directeur scientifique de l'Inra), Joël Abecassis (Inra Montpellier).

 

Le blé dur dans l'hexagone
Le blé dur en France représente cinq obtenteurs, cinquante multiplicateurs de semences, 20 000 producteurs dans quatre principaux bassins et 125 collecteurs. Les pâtes alimentaires, fabriquées à partir de semoule de blé dur sont le premier aliment de base consommé en France. Le blé dur est la seule grande culture qui n'est utilisée que pour l'alimentation humaine.

 

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