Pour tous les agriculteurs interrogés, le Plan Ecophyto 2018 crédibilise des pratiques qu’ils ont déjà amorcées. Ils sont tout à fait d’accord pour employer moins de phytosanitaires si des alternatives efficaces existent. Par rapport à une réduction de 50 % des usages, 27 % l’ont déjà fait et ne peuvent pas aller plus loin, 31 % ont commencé à diminuer et vont essayer de continuer, 34% attendent l’avis des conseillers techniques avant de se prononcer et 8 % ne changeront rien à leurs pratiques.
Toutefois, les arboriculteurs et les maraichers pensent qu’ils ont atteint leurs limites. Certains agriculteurs craignent aussi les distorsions de concurrence par rapport aux pays voisins. Quant au certificat des utilisateurs de produits phytosanitaires, 63 % reconnaissent que c’est une bonne idée et 12 % une très bonne idée. Mais 35 % des viticulteurs n’y sont pas favorables. Enfin pour progresser, les deux mesures les plus adaptées sont l’intensification de la recherche pour 76 % des agriculteurs et le renforcement des moyens de surveillance (70 %)
Toutefois, les arboriculteurs et les maraichers pensent qu’ils ont atteint leurs limites. Certains agriculteurs craignent aussi les distorsions de concurrence par rapport aux pays voisins. Quant au certificat des utilisateurs de produits phytosanitaires, 63 % reconnaissent que c’est une bonne idée et 12 % une très bonne idée. Mais 35 % des viticulteurs n’y sont pas favorables. Enfin pour progresser, les deux mesures les plus adaptées sont l’intensification de la recherche pour 76 % des agriculteurs et le renforcement des moyens de surveillance (70 %)
Cette enquête visait un triple objectif :
Mesurer l’opinion des agriculteurs
Identifier les arguments à exploiter dans la campagne de communication
Etablir la chronologie de la campagne de communication.
Mesurer l’opinion des agriculteurs
Identifier les arguments à exploiter dans la campagne de communication
Etablir la chronologie de la campagne de communication.