L’Etat et la société St-Hubert, intervenant sur le marché des matières grasses végétales, ont signé la première charte d’engagements volontaires de progrès nutritionnel mise en place dans le cadre du PNNS (Programme national nutrition santé). D’ici deux ans, l’entreprise s’est engagée à réduire, de 5 à 10 % les teneurs en lipides totaux et de 3 à 5 % les teneurs en acides gras saturés pour plus de deux-tiers des volumes produits. De plus, St-Hubert s’est engagée à limiter à moins de 1 % les teneurs en acides gras trans (dont l’excès dans l’alimentation augmente sensiblement le risque cardio-vasculaire) et à maintenir pour tous les nouveaux produits la richesse en acides gras essentiels, notamment les acides gras omega 3.
Proposées aux industries agroalimentaires depuis février 2007, cette charte a pour objectif de réduire les apports en sel, glucides simples, lipides totaux et acides gras saturés et à l’inverse, d’augmenter la consommation de glucides complexes et fibres et de fruits et légumes. Les entreprises souhaitant s’engager dans cette démarche doivent prendre des engagements précis chiffrés, datés et contrôlables.
Proposées aux industries agroalimentaires depuis février 2007, cette charte a pour objectif de réduire les apports en sel, glucides simples, lipides totaux et acides gras saturés et à l’inverse, d’augmenter la consommation de glucides complexes et fibres et de fruits et légumes. Les entreprises souhaitant s’engager dans cette démarche doivent prendre des engagements précis chiffrés, datés et contrôlables.