L’Union des industries phytosanitaires réagit à la publication du plan gouvernemental Ecophyto 2018 de réduction des usages de pesticides 2008-2018 : «l’objectif de réduction de 50% est conditionné à la mise au point et à la diffusion des méthodes alternatives. Cet objectif ne pourra être atteint dans dix ans que si les contraintes de temps liées à l’innovation, la recherche et à la mise au point de nouvelles molécules et de méthodes alternatives sont réellement prises en considération. Par ailleurs, si les notions d’indicateurs de risques et d’impact des applications apparaissent dans le plan à horizon 2012, leur mise en place doit se faire au plus tôt, afin de mesurer rapidement les résultats des progrès accomplis. Les critères d’identification des 53 substances les plus préoccupantes doivent respecter strictement la réglementation européenne. Ce principe n’a pas été appliqué pour 7 des 30 substances qui ont déjà fait l’objet d’un avis de retrait. »
Faute de quoi, selon l’UIPP, les agriculteurs seront confrontés à des impasses techniques qui dégraderont la qualité et réduiront les quantités des productions végétales.
L’UIPP se félicite toutefois « du renforcement des actions visant à une meilleure sécurisation des pratiques par la formation et la qualification des professionnels impliqués dans la préconisation et l’utilisation des produits »
Faute de quoi, selon l’UIPP, les agriculteurs seront confrontés à des impasses techniques qui dégraderont la qualité et réduiront les quantités des productions végétales.
L’UIPP se félicite toutefois « du renforcement des actions visant à une meilleure sécurisation des pratiques par la formation et la qualification des professionnels impliqués dans la préconisation et l’utilisation des produits »