La Commission européenne a lancé une consultation publique sur le plan d’action pour l’agriculture biologique. Ce dernier « sera un instrument important pour accompagner la croissance future du secteur ». Son adoption est prévue début 2021. Il s’articulera autour de trois axes principaux : stimuler la demande de produits biologiques tout en préservant la confiance des consommateurs, encourager l’augmentation de la surface consacrée à l’agriculture biologique dans l’UE et renforcer le rôle de la production biologique dans la lutte contre le changement climatique et la perte de biodiversité, y compris dans la gestion durable des ressources. Les citoyens, autorités nationales et parties prenantes concernées auront jusqu’au 27 novembre 2020 pour donner leur avis. La Commission européenne compte aussi soutenir l’agriculture biologique avec une enveloppe de 40 M€ sur l’année 2021 dans le cadre de la politique de promotion agroalimentaire de l’UE.
Bonjour,
C’est du grand n’importe quoi, le bio est une farce !
La bouillie bordelaise est autrement plus polluante que le glyphosate !
La population mondiale augmente donc, plus d’habitats, plus de construction, ect, et moins de terres agricoles alors si en plus, au lieu de produire 10 T/ha vous n’en faites plus que 3, ou va t’on ?
Sans parler des vivaces, déjà invasives avec les phytos actuels (chiendent, sycios, rumex…) et que faut’il faire contre toutes les maladies (ergots de seigle, salmonellose..), contre toutes les mycotoxines qui se développent à chaque attaque d’insectes.
Un champs de mais en agriculture conventionnelle et propre, capte 2 T de Co2 par an, en bio, non seulement, le mais ne va rien capter ou très peu mais en plus, le paysan va passer son temps sur le tracteur !! cherchez l’erreur !
En France, nous avons une production les plus saines du monde, non seulement, on est en train de tuer notre agriculture mais en plus on intoxique les gens avec des fausses vérités et une production idyllique qui ne tiens pas la route !
Expliquez plutôt aux gens que les produits que l’on utilisent aujourd’hui sont dégradables (comme le glyphosate dans le sol) et que, de nos jours, les paysans sont formés, disposent de matériels performants (DPA, coupures électronique, radars..) et qu’ils savent aussi calculer les couts de productions.
A l’époque de mon père, il n’avait le matériel, on ne connaissait pas les effets néfastes des produits, c’est clair qu’il y a eu des abus.
En plus, avant l’industrialisation, tout le monde faisait du bio, il y avait 6 ou 7 fois moins de gens sur terre et seuls, les nantis se “tapaient la cloche”, le reste de la population tournait au gros rouge !!
Les vieilles vignes traitées à la bouillie bordelaise pendant des décennies, même arrachées depuis trente ans, il est impossible d’avoir une production correcte quelque soit la culture ! C’est une vérité, il faut la dire !
C’est une réalité que les bobo-bios des villes et, maintenant, la population en général à force de matraquage médiatique, ne connaissent pas.
Le bio est une machine a “pognon” que ce soit sur la vente des produits mais surtout de son image et de sa promotion, je dirais presque de sa “propagande”.
Pour finir, je dirai que le premier écolo, c’est le paysan !
On vit de notre terre, je suis la dix-neuvième génération sur l’exploitation alors, bien sur les réalités économiques nous poussent à faire des choix, mais on aime notre campagne et on la respecte !
Je me dois de répondre à mon confrère paysan (?) Michel et apporter une note un peu plus positive pour l’A.B.
Notre ferme est en bio depuis plus d’un demi siècle ( pas encore 19 générations !) et nous avons vécu ,ainsi que nos jeunes aujourd’hui, correctement ( à nos yeux ).
Si vos bons produits chimiques se dégradent dans le sol ,comment se fait il que l’on en retrouve partout sur la planète ? ( pour certains du moins )
Je suis tout à fait d’accord pour reconnaître que “le paysan est le premier écolo ” ,mais qu’est ce qu’un paysan? ,en existe t’il encore beaucoup ? , .Je n’entends plus que les termes “exploitant , exploitation “?
Ma définition du “Paysan” (que je suis ) : l’homme qui habite le pays ….et le Cultive ! (et non l’exploite !). Réfléchissons sereinement sur la signification de ces deux termes et essayons d’en mesurer l’impact . L’exploitation de la terre est trés récente ( quelques décennies ) , car lorsque j’étais à l’école d’agriculture on ne parlait que de ” la ferme” ,jamais d’exploitation .
Voila pourquoi j’ai pensé que l’A.B.pouvait répondre à ma réflexion et l’ai pratiquée ( sans la moindre aide publique !). Aujourd’hui,je ne regrette pas du tout et suis satisfait du résultat pour moi et mes successeurs . D’ailleurs ,la F A O la conseille pour nourrir le monde de demain car (d’après elle ) l’agriculture industrielle ne pourra pas y parvenir ! ?
Vous douterez peut être de la véracité de mes propos mais je vous invite à venir voir sur le champ ce qu’il en est ,….,et autour d’un verre nous nous comprendrons certainement .
Bonjour,
C’est du grand n’importe quoi, le bio est une farce !
La bouillie bordelaise est autrement plus polluante que le glyphosate !
La population mondiale augmente donc, plus d’habitats, plus de construction, ect, et moins de terres agricoles alors si en plus, au lieu de produire 10 T/ha vous n’en faites plus que 3, ou va t’on ?
Sans parler des vivaces, déjà invasives avec les phytos actuels (chiendent, sycios, rumex…) et que faut’il faire contre toutes les maladies (ergots de seigle, salmonellose..), contre toutes les mycotoxines qui se développent à chaque attaque d’insectes.
Un champs de mais en agriculture conventionnelle et propre, capte 2 T de Co2 par an, en bio, non seulement, le mais ne va rien capter ou très peu mais en plus, le paysan va passer son temps sur le tracteur !! cherchez l’erreur !
En France, nous avons une production les plus saines du monde, non seulement, on est en train de tuer notre agriculture mais en plus on intoxique les gens avec des fausses vérités et une production idyllique qui ne tiens pas la route !
Expliquez plutôt aux gens que les produits que l’on utilisent aujourd’hui sont dégradables (comme le glyphosate dans le sol) et que, de nos jours, les paysans sont formés, disposent de matériels performants (DPA, coupures électronique, radars..) et qu’ils savent aussi calculer les couts de productions.
A l’époque de mon père, il n’avait le matériel, on ne connaissait pas les effets néfastes des produits, c’est clair qu’il y a eu des abus.
En plus, avant l’industrialisation, tout le monde faisait du bio, il y avait 6 ou 7 fois moins de gens sur terre et seuls, les nantis se “tapaient la cloche”, le reste de la population tournait au gros rouge !!
Les vieilles vignes traitées à la bouillie bordelaise pendant des décennies, même arrachées depuis trente ans, il est impossible d’avoir une production correcte quelque soit la culture ! C’est une vérité, il faut la dire !
C’est une réalité que les bobo-bios des villes et, maintenant, la population en général à force de matraquage médiatique, ne connaissent pas.
Le bio est une machine a “pognon” que ce soit sur la vente des produits mais surtout de son image et de sa promotion, je dirais presque de sa “propagande”.
Pour finir, je dirai que le premier écolo, c’est le paysan !
On vit de notre terre, je suis la dix-neuvième génération sur l’exploitation alors, bien sur les réalités économiques nous poussent à faire des choix, mais on aime notre campagne et on la respecte !
Je me dois de répondre à mon confrère paysan (?) Michel et apporter une note un peu plus positive pour l’A.B.
Notre ferme est en bio depuis plus d’un demi siècle ( pas encore 19 générations !) et nous avons vécu ,ainsi que nos jeunes aujourd’hui, correctement ( à nos yeux ).
Si vos bons produits chimiques se dégradent dans le sol ,comment se fait il que l’on en retrouve partout sur la planète ? ( pour certains du moins )
Je suis tout à fait d’accord pour reconnaître que “le paysan est le premier écolo ” ,mais qu’est ce qu’un paysan? ,en existe t’il encore beaucoup ? , .Je n’entends plus que les termes “exploitant , exploitation “?
Ma définition du “Paysan” (que je suis ) : l’homme qui habite le pays ….et le Cultive ! (et non l’exploite !). Réfléchissons sereinement sur la signification de ces deux termes et essayons d’en mesurer l’impact . L’exploitation de la terre est trés récente ( quelques décennies ) , car lorsque j’étais à l’école d’agriculture on ne parlait que de ” la ferme” ,jamais d’exploitation .
Voila pourquoi j’ai pensé que l’A.B.pouvait répondre à ma réflexion et l’ai pratiquée ( sans la moindre aide publique !). Aujourd’hui,je ne regrette pas du tout et suis satisfait du résultat pour moi et mes successeurs . D’ailleurs ,la F A O la conseille pour nourrir le monde de demain car (d’après elle ) l’agriculture industrielle ne pourra pas y parvenir ! ?
Vous douterez peut être de la véracité de mes propos mais je vous invite à venir voir sur le champ ce qu’il en est ,….,et autour d’un verre nous nous comprendrons certainement .