Une saveur salée sans sel

6 octobre 2010 - La rédaction 

Une alimentation trop salée participe au développement des maladies cardiovasculaires. Le problème est qu’une teneur moins élevée en sel se traduit systématiquement par un produit moins bien apprécié. Des chercheurs de l’Institut national de la recherche agronomique de Dijon ont montré que certains arômes évoquant des goûts salés peuvent rehausser la perception de cette saveur. Derrière ce phénomène se cache un mécanisme de compensation entre les différents sens, l’odorat et le goût. A terme, ce procédé pourrait également être appliqué à la réduction de la teneur en graisse et en sucre des aliments.

Pas plus de 5 grammes par jour
Les autorités sanitaires telles que l’Organisation mondiale de la santé se sont prononcées en faveur d’une réduction de sa teneur dans les aliments pour atteindre une consommation de 5 g/jour, en accord avec les recommandations nutritionnelles.

Laisser un commentaire

Recevoir la newsletter

Restez informé en vous abonnant gratuitement à la newsletter