Emilie Alauze a été primée pour son participation à la création et au développement d'outils en vue d'aider les viticulteurs de la région à préserver la biodiversité et la qualité de l'eau. Elle a également mis en place des infrastructures agro-écologiques favorables à la biodiversité. Son action met par ailleurs l'accent sur la protection de la qualité de l'eau. Ce prix vient ainsi saluer le programme « Biodiv&Eau », coordonné par le Syndicat des Côtes de Thongue.
WWSF espère que le parcours d’Emilie Alauze, comme celui des 9 autres lauréates, « inspireront et inciteront d’autres à agir, participant ainsi au respect des droits humains, à l'élimination de la pauvreté et de la violence envers les femmes, à la sauvegarde de la planète, et à la réalisation des nouveaux Objectifs de développement durable d’ici 2030, adoptés le 25 septembre 2015 à New York lors de l’Assemblée générale des Nations Unies. »
Le Prix (1000 US$ par lauréate) honore des femmes, individuelles ou en groupe, issues de milieux ruraux dans le monde, qui contribuent à l'amélioration de la qualité de vie de leur communauté, à la protection de l’environnement, à la transmission du savoir, ainsi qu’à l’avancement de leurs droits au développement et à la paix. Créé en 1994, le Prix WWSF a récompensé à ce jour 413 lauréates dans plus de 130 pays.
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