Parmi les pistes dégagées dans « Chlordécone aux Antilles : bilan actualisé des risques sanitaires », la poursuite des recherches pour « mieux connaître ses effets sur l’Homme dans le cadre d’une exposition prolongée à de faibles doses », pour évaluer l’incidence possible de cet insecticide sur la survenue d’autres pathologies, ou encore le maintien de l’effort de surveillance des populations.
Impliquer la société civile
« L’un des enjeux majeurs, exlique l’INVES, pour jeter les bases d’une gestion des risques sur une longue période, réside dans l’information partagée par les parties prenantes et accessible à tous. Le second plan chlordécone, élaboré pour les années 2011 à 2013, intègre cet objectif et son mode de préparation s’est appuyé sur une forte implication de la société civile et des pouvoirs locaux. »